Amazon développe le recours à des véhicules électriques et livre désormais plus de 9 colis sur 10 à Anvers en vans électriques
Cette initiative marque une étape importante vers l’objectif zéro émission nette carbone que s’est fixé Amazon d’ici 2040, avec 10 ans d’avance sur l’objectif de l’Accord de Paris
Bruxelles, le 3 novembre 2022 – Amazon annonce ce jour qu’à Anvers, plus de 9 colis sur 10 expédiés par Amazon sont livrés aux clients à partir de son agence de livraison située à Anvers par des partenaires de livraison du dernier kilomètre avec une dizaine de vans électriques. Avec l’utilisation des véhicules électriques, Amazon tend à décarboner son service de livraison du « dernier kilomètre », en supprimant les gaz d’échappement générés par le transport entre les dépôts de livraison et le domicile des clients.
Pour Amazon, la livraison de colis avec des véhicules électriques grâce à ses partenaires de livraison du dernier kilomètre est une étape essentielle pour concrétiser l’objectif de l’entreprise à atteindre zéro émission nette de CO2 sur l’ensemble de ses activités d’ici 2040, avec 10 ans d’avance sur l’objectif de l’Accord de Paris. Cet engagement constitue l’objectif central de The Climate Pledge, cofondé par Amazon en 2019.
« Amazon s’engage à faire changer les choses en matière de protection de l’environnement, car tout le monde y gagne : c’est bon pour la planète et pour nos clients. Nous sommes ravis de livrer nos clients d’Anvers avec des vans électriques. C’est une étape majeure vers la réalisation de notre objectif : assurer des livraisons zéro émission nette carbone partout en Belgique », souligne Eva Faict, Directrice générale, Amazon.com.be.
A Anvers, Amazon travaille avec des partenaires de livraison, tels que la société RBR & Cie.
« Nous livrons la province d’Anvers depuis un an et nous étions impatients de nous implanter sur le nouveau site Amazon Logistics de Blue Gate pour ainsi initier la transition énergétique de notre flotte, grâce aux infrastructures de charge dont dispose le site et le support d’Amazon cela nous permet d’acquérir les meilleurs véhicules électriques du marché. Nous espérons que nous pourrons poursuivre cette transition à l’avenir en tendant vers une flotte entièrement électrique. Nos chauffeurs apprécient ces véhicules et nous sommes fiers de nous conformer aux attentes locales et de contribuer au développement durable », explique Rayane REBBOUH, Gérant de RBR & Cie.
Dans toute l’Europe, Amazon travaille de manière consistante avec ses partenaires de livraison pour renouveler leurs flottes de véhicules. Amazon a récemment annoncé que l’entreprise prévoit d’investir plus d’un milliard d’euros au cours des cinq prochaines années afin de poursuivre l’électrification et la décarbonation de son réseau de transport en Europe pour livrer ses clients de manière plus écoresponsable. Cet investissement a aussi pour but de dynamiser l’innovation dans l’ensemble de la filière et d’encourager le développement d’infrastructures publiques de recharge, ce qui permettra plus généralement au secteur du transport de réduire plus rapidement ses émissions. Les partenaires d’Amazon disposent déjà de plus de 3 000 utilitaires électriques assurant la livraison de colis à ses clients dans toute l’Europe et Amazon prévoit d’atteindre plus de 10 000 d’ici 2025.
Depuis qu’Amazon a co-fondé The Climate Pledge en 2019, l’entreprise a continué ses investissements dans les énergies renouvelables. Amazon est le plus gros acheteur privé d’énergie renouvelable dans le monde, avec une capacité de 15,7 GW d’énergie propre. En Europe, Amazon compte plus de 100 projets d’énergie renouvelable, soit une capacité de plus de 4,200 MW. Une fois toutes mises en service, l’ensemble des installations d’énergie renouvelable d’Amazon produira suffisamment d’énergie propre pour alimenter l’équivalent de 3,2 millions de foyers européens chaque année.
Alors qu’Amazon étend ses livraisons à l’aide de véhicules électriques, une étude récente* a démontré qu’acheter en ligne occasionne 50 % d’émissions de gaz à effet de serre en moins par rapport à l’achat en commerce physique et divise par 4 la circulation routière en évitant à chaque consommateur de se rendre individuellement dans les magasins en voiture.
(*« Le e-commerce: une bonne chose pour l’Europe ? », Oliver Wyman, avril 2021).